silences - S'échanger un bout de cielhttp://silences.cowblog.frCowblogfrThu, 30 Sep 2010 09:17:42 +0200180http://silences.cowblog.fr/lovely-3043444.htmlLovelyWould you like a cup of tea ?]]>http://silences.cowblog.fr/commentaires-3043444.htmlThu, 30 Sep 2010 09:17:00 +0200http://silences.cowblog.fr/lovely-3043444.htmlhttp://silences.cowblog.fr/and-hold-you-when-you-hurt-and-want-you-when-i-smell-you-and-offend-you-when-i-touch-you-3002656.htmland hold you when you hurt and want you when I smell you and offend you when I touch youhttp://silences.cowblog.fr/images/DSC04754.jpg

Donne moi une raison de t'aimer parce que là je te jure je ne sais plus. Je suis l'une de ses filles pommées qui guettent le moindre signe, la plus insignifiante des preuves. Mes lèvres s'assèchent de t'avoir autant embrasser. Dis moi que je peux me défaire de cette peur qui est inscrite depuis trop longtemps en moi. Dis moi que je peux exploser sans avoir à craindre de me réveiller seule, l'empreinte de ton corps s'évanouissant sur les draps. Pour l'instant je vis avec précaution, ne surtout pas s'emballer, ne surtout pas se laisser aller. tes mots murmurés et ton souffle sur ma nuque n'y peuvent rien. Ce n'est pas seulement mon coeur qui est en miettes, c'est moi toute entière. Prends moi en otage pour une durée encore indéterminée, je veux me laisser apprivoiser.
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http://silences.cowblog.fr/commentaires-3002656.htmlSun, 30 May 2010 22:34:00 +0200http://silences.cowblog.fr/and-hold-you-when-you-hurt-and-want-you-when-i-smell-you-and-offend-you-when-i-touch-you-3002656.html
http://silences.cowblog.fr/broken-dreams-of-flyin-birds-2997336.htmlBroken dreams of flyin birds,]]>http://silences.cowblog.fr/commentaires-2997336.htmlSun, 16 May 2010 07:30:00 +0200http://silences.cowblog.fr/broken-dreams-of-flyin-birds-2997336.htmlhttp://silences.cowblog.fr/abimes-mais-tranquilles-sur-le-toit-de-la-ville-2996634.htmlAbîmés mais tranquilles sur le toit de la villeJe voudrais réussir à mettre des mots sur ce chaos infini qu'est ma vie. On se dit que vingt ans c'est jeune et un peu vieux quand même à la fois. Je m'interdis de regarder en arrière. Surtout ces deux dernières années. Je m'interdis de penser que j'ai perdu des jours des semaines des mois à vivre sur un fil en point de suspension. Parce que sinon ce serait la fenètre ouverte aux regrets. Et je n'en ai pas besoin. J'aime me lever le matin juste pour me demander ce à quoi je vais pouvoir rêver pendant la journée. Je la vois me sourire entre deux tasses de thé brûlantes. Et ça me suffit. Non je ne suis pas guérie. Je ne sais pas pour combien de temps je vais continuer à vivre avec ça ancré en moi. Cette peur incommensurable du vide sous mes pieds et des regards fuyants. Mais je fais avec et parfois même ça se tait au fond de moi. Je respire alors à en perdre les pédales. Quand je fermes les yeux, ça tournoie à n'en plus s'arrêter et je me laisse emporter. Un peu de folie et des rires à la pelle. Promets moi que tu ne m'oublieras pas.]]>http://silences.cowblog.fr/commentaires-2996634.htmlThu, 13 May 2010 22:57:00 +0200http://silences.cowblog.fr/abimes-mais-tranquilles-sur-le-toit-de-la-ville-2996634.htmlhttp://silences.cowblog.fr/a-hurler-du-silence-sur-qu-on-n-entend-plus-rien-2994422.htmlA hurler du silence. Sûr qu'on n'entend plus rienhttp://silences.cowblog.fr/images/DSC04335.jpg


Moi je croyais que la vie c'était aussi facile que de donner un baiser. Hésiter tatonner approcher avec douceur et puis oublier ce qui nous entoure pour se concentrer sur l'essentiel. Sauf qu'en vrai ça ne se passe pas comme ça. Le vide et les non-dits me font basculer. Je ne suis qu'un fouillis de contradictions. Un méli mélo de peurs enfouies. Je me demande s'il existe quelque part quelqu'un d'assez fou pour me lancer un regard dans lequel je verrais valser mille et une promesses. Il faut que tu m'apprivoises à coup de sourires et de mots chuchotés au creux de mon oreille. Fais moi vivre de trop m'aimer, de trop m'étreindre, de trop faire chambouler mon coeur.  Je veux prendre toute la place en toi à défaut de ne pas savoir le faire avec ma propre vie. Si je détourne les yeux accroche toi je t'en prie. Je veux dire, l'amour je le veux plus que toute autre chose sur terre, même si j'en deviens folle, montre moi comment c'est.
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http://silences.cowblog.fr/commentaires-2994422.htmlSat, 08 May 2010 22:59:00 +0200http://silences.cowblog.fr/a-hurler-du-silence-sur-qu-on-n-entend-plus-rien-2994422.html
http://silences.cowblog.fr/t-es-ma-nicotine-t-es-mon-oxygene-2992452.htmlT'es ma nicotine. T'es mon oxygène.http://silences.cowblog.fr/images/L.jpg
 
J'avais le coeur aussi léger qu'une plume et le sourire bien cousu pendant chaque minute de chaque heure de cette journée. Il y a des instants comme ça où il faut presser les émotions les entortiller sans se poser de questions pour qu'on bascule du coté de la vie. Je n'ai pas eu peur de rire à en faire s'envoler les oiseaux. A déborder des frontières imaginaires dont je suis la seule prisonnière. J'ai joué à la funambule à deux doigts du vide. Et je n'ai pas tremblé. Ou alors qu'un tout petit peu. Je veux que des journées comme ça il y en ait en ribambelles. Les faire rimer avec Eternité. Parce qu'il faut bien parfois regarder plus loin que le bout de son nez. Peut-être en clignant des yeux au début, éblouie de se dire qu'on ne veut plus rien louper. Il n'y a pas d'ailleurs aussi merveilleux que celui que je vais me construire pas à pas. J'y crois. J'y crois.
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http://silences.cowblog.fr/commentaires-2992452.htmlSun, 02 May 2010 22:56:00 +0200http://silences.cowblog.fr/t-es-ma-nicotine-t-es-mon-oxygene-2992452.html
http://silences.cowblog.fr/des-mots-d-amour-par-satellite-2991904.htmlDes mots d'amour par satelliteEt puis je t'ai vu. Mon ventre en était déjà à son troisième looping. Et je ne te raconte même pas l'état dans lequel mon cerveau s'entortillait. Ca ne me ressemble pas d'avoir accepté, comme ça sur un coup de tête. Je m'étais entendue prononcer un oui à peine audible la veille. Un oui plein de promesse et de douceur au bout des doigts. Pour une fois je ne me suis pas trompée. J'ai pu laissé quelques uns de mes silences prendre toute la place sans que tu ne détournes les yeux. La peur inscrite en filigrane, tu as su pendant quelques heures m'apprivoiser. C'est peut-être bateau mais j'ai aimé que tu parles sans arrêt ton sourire timide tes petites tâches de rousseur et tes blagues nulles pour me faire rire. Et le pire dans tout ça, tu sais ce que c'est ? C'est que j'en ai ri de tes blagues. J'ai ri de ce nous qui est encore aujourd'hui un peu flou. Prends ma main et dis-moi on y va. Dis-moi que tu m'emmènes n'importe où. Là où il y a la mer pour la comparer avec le bleu de tes yeux. ]]>http://silences.cowblog.fr/commentaires-2991904.htmlSat, 01 May 2010 17:52:00 +0200http://silences.cowblog.fr/des-mots-d-amour-par-satellite-2991904.htmlhttp://silences.cowblog.fr/les-momes-ne-revent-plus-de-marcher-sur-les-lunes-2989908.htmlLes mômes ne rêvent plus de marcher sur les luneshttp://silences.cowblog.fr/images/plage.jpg

Il y a des instants que l´on met en suspens pour une durée encore indéterminée.
Le temps d´un nouveau souffle.

Juste au dessus des pâquerettes, et à un doigt du Ciel.

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http://silences.cowblog.fr/commentaires-2989908.htmlSun, 25 Apr 2010 15:31:00 +0200http://silences.cowblog.fr/les-momes-ne-revent-plus-de-marcher-sur-les-lunes-2989908.html
http://silences.cowblog.fr/j-ai-crie-ton-prenom-dans-les-tourbillons-de-la-vie-2989904.htmlJ'ai crié ton prénom dans les tourbillons de la vieEt sinon j'aimerais avoir assez de souffle pour changer de vie. Tu crois que ça se peut ? Je ne sais pas moi, imagine j'ouvre les yeux un matin et je me dis, il y a quelque chose de changer ici. Alors je scrute un peu, non j'ai encore mon grain de beauté sur l'épaule gauche et mes tâches de rousseur au coin des yeux. J'ai toujours ces pensées brouillons et cette envie de chanter de vieilles chansons passées de mode sous la douche. Non ce n'est pas ça. Alors je me lève et ça tangue. Je vacille d'un trop plein qui menace de déborder par tous les pores de ma peau. Comme des milliers de rigoles qui zigzaguent et creusent en moi des images du passé pour finalement se jeter je ne sais où. Pfiout envolée l'amertume et la peur. Oui cette peur qui me tordillait sans relâche, comme une rengaine incessante. Le caillou de dix mille tonne dans mon estomac s'est fait la malle sans m'en faire part. Alors je ris. Je ris aussi fort que je le peux. Parce que tu vois, ça fait si longtemps que je ne sais plus ce que ça fait. ]]>http://silences.cowblog.fr/commentaires-2989904.htmlSun, 25 Apr 2010 15:20:00 +0200http://silences.cowblog.fr/j-ai-crie-ton-prenom-dans-les-tourbillons-de-la-vie-2989904.htmlhttp://silences.cowblog.fr/allez-jure-qu-on-le-refera-2989498.htmlAllez jure qu'on le refera Et puis ça te prend comme ça, comme une envie de crier en silence entre deux mains qui se cherchent sans se trouver. On ne sait pas si elles se toucheront un jour. Si elles sentiront le contact de l'autre, ce moment où des petits picotements te brûle la peau. C'est la sensation la plus merveilleuse du monde. Sentir que deux choses s'attirent. Sans qu'on en est réellement conscience. Ca nous dépasse et on rouspète parce que ça fait un peu mal. Mais je trouve que ça vaut le coup. Quand même un peu.


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http://silences.cowblog.fr/commentaires-2989498.htmlSat, 24 Apr 2010 00:14:00 +0200http://silences.cowblog.fr/allez-jure-qu-on-le-refera-2989498.html